Basses terres
En Guadeloupe, les toussotements de la Soufrière font partie du quotidien des habitants de la Basse-Terre. Mais en ce mémorable mois de juillet 1976, les explosions s’intensifient, les cendres recouvrent impitoyablement la végétation et beaucoup se résignent à partir en Grande-Terre. Au cœur de cette saison brûlante, les bourgs se vident et les destins se jouent. De l’autre côté de l’isthme, chez les Bévaro, l’heure est aux retrouvailles: dans la case d’Elias, le patriarche, s’agglutinent la famille de son fils venue de métropole et une flopée de cousins déplacés. Eucate, en Basse-Terre, n’a plus que sa petite-fille. Elle a autrefois érigé sa case sur les pentes du volcan pour fuir les vilénies de son patron monsieur Vincent et elle est bien décidée à y rester. Même si elle devait être la dernière, seule avec ses souvenirs d’un passé doux-amer.
À propos
« L’autrice de Là où les chiens aboient par la queue signe un grand livre sur le tragique d’existences aliénées par le sceau de la naissance.» Livres Hebdo
« Un roman mordant et poétique, ancré dans une terre guadeloupéenne pleine de ses fantômes. » La Croix
« Son langage, par sa puissance suggestive et bigarrée, suffit à faire bruisser le texte, à en exsuder des odeurs, des couleurs. Magique. » Sud Ouest
« Estelle-Sarah Bulle fait entendre les voix d’une île sur le qui-vive » L’Humanité
« Estelle-Sarah Bulle fait entendre les voix d’une île sur le qui-vive » L’Humanité
« Bouillonnant, vibrant, attachant, à l’image de la Guadeloupe !» Le Télégramme
« Ce roman savoureux est un document ethnographique puisé à la source. La vie y palpite. La langue créole y apporte sa couleur vraie. » La Vie
« Un roman d’une beauté sensuelle qui laisse des parfums puissants et de jolis portraits. !» Le Maine Libre
« Une merveilleuse fresque, vivace et chatoyante. » Télé Z
« Cette famille vit et vibre pour notre plus grand bonheur sous la plume de conteuse d’Estelle-Sarah Bulle, dans la chaleur étouffante d’un volcan en furie. » Libération
« À travers cette foisonnante galerie de personnages attachants, la Guadeloupe se raconte. » Ouest France
« Une fresque douce-amère, solaire et inquiète » Le Parisien Week-end
« Avec une plume séduisante, l’écrivaine intègre sa chronique familiale foisonnante dans une nature indomptable. » Version Femina
« Un récit envoûtant qui nous fait vibrer au rythme des vies qu’il compose. » Librairie Au Chat lent, Challans, sur France Bleu Loire Océan
« Voyager grâce au nouveau roman d’Estelle-Sarah Bulle…» Librairie Tulitu, Bruxelles
« Vibrez avec la galerie prodigieuse des personnages dont vous découvrirez les familles, leurs liens, leurs secrets… » Librairie à la marge, Montreuil
« Estelle-Sarah Bulle explore par touches discrètes mais précises, les paysages, le quotidien, la langue et la société guadeloupéenne. » Librairie la Géothèque, Nantes
« Talent, maîtrise et subtilité. Un vrai régal ! » Librairie La Droguerie, Saint-Malo
« Un roman lumineux, qui aborde avec délicatesse des thèmes forts comme les liens familiaux, l’exil, la pauvreté,, mais aussi la beauté de cette île et l’attachement des habitants à leur terre. »Librairie Flora lit, Paris
«Quel plaisir de retrouver Estelle-Sarah Bulle et sa plume sensible dans une plongée en Guadeloupe.» Librairie La Toute petite librairie, Paris