Désorientale
Si nous étions en Iran, cette salle d’attente d’hôpital ressemblerait à un caravansérail, songe Kimiâ. Un joyeux foutoir où s’enchaîneraient bavardages, confidences et anecdotes en cascade. Née à Téhéran, exilée à Paris depuis ses dix ans, Kimiâ a toujours essayé de tenir à distance son pays, sa culture, sa famille. Mais les djinns échappés du passé la rattrapent pour faire défiler l’étourdissant diaporama de l’histoire des Sadr sur trois générations: les tribulations des ancêtres, une décennie de révolution politique, les chemins de traverse de l’adolescence, l’ivresse du rock, le sourire voyou d’une bassiste blonde…
Une fresque flamboyante sur la mémoire et l’identité; un grand roman sur l’Iran d’hier et la France d’aujourd’hui.
À propos
Prix Prem1ère (RTBF)
Prix du style
Prix Albertine 2019
Prix Emmanuel Roblès du premier roman à Blois
Prix des librairies Folies d’encre
Meilleur premier roman français LIRE
Prix de la librairie L’Autre Monde à Avallon
Prix de la librairie Delamain à Paris
Prix Terres de parole
Prix des lecteurs des Pays du Gois
Prix de la médiathèque de Saint-Renan
Prix du premier roman des médiathèques de Colombes
Prix de la librairie Lilly à Honfleur
Prix de la Porte dorée
Prix des lecteurs de la librairie La Galerne au Havre
Prix Cinélect Dorothée Théron bibliothèque de Joinville le Pont
Prix des Lecteurs de Cenon
Prix du Cercle de Lecture AVF Manosque
Prix Roman News
«Désorientale se lit sans reprendre son souffle, bel hymne à la liberté de vivre, de penser, d’aimer.» L’Humeur vagabonde, France Inter
«De l’émotion, de la comédie, de la fièvre et du drame.» Elle (lire la suite)
«Une plume enchanteresse.» Canal +
«Formidable. L’un des romans les plus forts de la rentrée.» La Grande Librairie, France 5
«On lit rarement un premier roman aussi fort.» Grazia (lire la suite)
«Une voix qui nous enchante autant qu’elle nous étreint.» Le Monde des livres (lire la suite)
«Un coup de maître.» Psychologies magazine (lire la suite)
«Une épopée romanesque.» Le Figaro littéraire
«Une odyssée.» L’Humanité (lire la suite)
«Une autobiographie pleine de fictions libératoires.» Lire (lire la suite)
«Un monologue échevelé où la saga familiale croise le récit intimiste.» Livres Hebdo (lire la suite)
«Une histoire romanesque en diable, pleine de digressions délicieusement orientales.» Télérama (lire la suite)
«Un roman d’apprentissage à l’iranienne.» Libération (lire la suite)
«Nourri d’une veine politiquement incorrecte, résolument spontanée, le roman est une célébration de la vie et de la musique.» Le Matricule des anges (lire la suite)
«Une saga paradoxale, sacrément culottée : l’une des plus belles surprises de cette fin d’été.» Diacritik (lire la suite)
«Épique et magnifique.» La Nouvelle République
«Un conte moderne décapant.» Onlalu (lire la suite)
«À lire et à relire, un roman inépuisable.» Le 1 (lire la suite)
«La révélation de la rentrée.» Télématin
«La trajectoire singulière d’une jeune femme qui affronte les désordres de l’identité.» La Libre Belgique
«Entre satire sociale et conte persan, ce roman nous plonge dans l’histoire de l’Iran et dans celle d’une femme en quête d’elle-même.» Biba
«Un premier roman trépidant et plein d’humour.» Ouest France (lire la suite)
«Essentiel en ces temps de tentation de repli sur soi.» CFDT magazine
«Ce premier roman fait merveilleusement mouche.» Mosquito
«Négar Djavadi nous balade avec une maîtrise tout simplement impressionnante. Désorientale est un livre d’une humanité sans borne.» La Manoeuvre, Paris
«Ample fresque politique, historique et intimiste, Désorientale séduit par sa liberté, sa puissance, son souffle, sa langue et offre de brillantes réflexions sur l’exil et l’identité. Bluffant!» Le Carnet à spirales, Charlieu
«Quelle intelligence, quelle liberté de ton, quelle générosité, quelle tolérance! Un livre magnifique, subtil et juste.» Passages, Lyon
«Du harem au punk, il n’y a qu’un pas que Négar Djavadi franchit avec insolence et talent!» Coiffard, Nantes
«En conteuse étourdissante, et avec une franchise absolue, Négar Djavadi nous apprend dans la joie à désapprendre.» Le Square, Grenoble
«Négar Djavadi dynamite l’Histoire iranienne et crée des ouvertures qui permettent de rentrer dans l’histoire intime de ses personnages.» Quai des brumes, Strasbourg
«Un regard croisé entre Orient et Occident; de très belles pages sur le sentiment et les réalités de l’exil.» Le Roi livre, Paris
«Ce livre est un régal: fluidité de la narration, ton plein d’humour, histoire passionnante de l’Iran et d’une famille sur plusieurs générations.» La Page suivante, Lyon