Inséparables, les frères Pontecorvo, Filippo et Samuel, l’ont toujours été. Comme les petits perroquets qui ne savent vivre qu’ensemble. Les différences existent pourtant. L’aîné, paresseux patenté, collectionne les aventures. Le second, financier brillant, ne connaît en amour que des ratés. Et voilà que les destins s’inversent. Samuel subit un revers professionnel important, tandis que Filippo conquiert une renommée inattendue. Une renommée que les médias amplifieront pour de mauvaises raisons. Encore une fois les Pontecorvo vont devoir faire face au système médiatique. Alors que vingt-cinq années se sont écoulées, le passé refait surface et ramène au premier plan le spectre de Leo, leur père, l’hallali de la presse, le silence qui a tétanisé la famille, le rôle de l’inébranlable Rachel. Un passé qu’il est temps pour les Inséparables d’affronter, tout en slalomant dans leur propre vie…
À propos
Prix Strega 2012.
«A la morale et à l’idéologie, Piperno préfère l’ironie.» Le Monde (lire la suite)
«Un marigot familial sur lequel le sulfureux Piperno jette ses petites phrases assassines sonnant le glas d’une bourgeoisie désormais déchue. Cruel. Et cinglant.» L’Express (lire la suite)
«Il nourrit son talent de caricaturiste d’un esprit persifleur affûté. De ce jeu de massacre nul ne sortira grandi. Si ce n’est un écrivain au sommet de son ironie et de sa cruauté.» Transfuge (lire la suite)
«On n’avait rien vu d’aussi brillant depuis des lustres.» Le Figaro Magazine
«Une écriture imparable, un sens infaillible de l’effet de réel et un humour sévère.» Le Magazine Littéraire (lire la suite)
«Un jeu de massacre. Mais plein de tendresse et hautement comique. Irrésistible, en somme.» Le Point (lire la suite)
«Un cocktail romain doux-amer, avec une pointe d’agrumes pour l’acidité.» Causette (lire la suite)
«Au royaume du politiquement correct, Alessandro Piperno détonne.» Elle (lire la suite)
«On retrouve tout le talent de l’écrivain pour la satire. Il dépeint une Italie contemporaine gangrenée par la fascination compulsive pour l’argent et les apparences et phagocytées par les médias avides.» Le matricule des Anges (lire la suite)
«Un humour persifleur aérien et baroque.» 20mn (lire la suite)
«Fort, tapageur et savoureux, avec ce qu’il faut de mauvaise conscience, de nostalgie et de gravité pour que le lecteur soit totalement séduit.» Lire (lire la suite)
«Un roman empreint de l’ironique élégance qui est sa marque.» Marianne (lire la suite)
«Entre l’humour pince –sans-rire de Nanni Moretti et celui, plus délirant, de Roberto Benigni.» GQ
«Expert en facéties romanesques.» Tageblatt
«Impitoyable et ironique tour de force parfaitement ajusté. Savoureux et épicé à point.» Librairie Folie d’encre, Montreuil
«Une saga familiale à l’italienne, bondissante et intelligente.» Librairie Dialogues, Brest