Romains depuis plusieurs générations, les Zevi comptent parmi leurs ancêtres penseurs, avocats, scientifiques et même un rabbin! Seule fausse note dans ce concert de bienséance, Matteo, incorrigible hâbleur. Dans les années 1990, il s’est rué avec légèreté dans deux mariages successifs et une accumulation inconsidérée de dettes. Ne parvenant pas à les rembourser, il a quitté l’Italie pour Los Angeles. Seize ans plus tard, le voici de retour à Rome. Ses deux enfants l’attendent sans l’attendre, tandis que Federica, son ex-femme, essaye de recoller les morceaux en éternelle Pénélope. Le revenant, résolu à dévorer la vie par les deux bouts, se jette sans retenue dans les retrouvailles avec la Ville éternelle, qui plus que jamais conjugue beauté et délabrement. Et la vie reprend son cours léger et futile, jusqu’à l’inévitable collision avec l’Histoire.
À propos
«Ses tableaux de mœurs mettent en scène des bourgeois aisés à la biographie compliquée, parce qu’ils se la compliquent eux-mêmes.» Libération (lire la suite)
«Une radiographie cuisante et lucide de notre époque.» Télérama (lire la suite)
«Un observateur passionné des comportements humains.» Le Monde (lire la suite)
«Piperno pratique un humour cinglant et considère la société avec un œil à la Sorrentino.» Le Figaro Littéraire (lire la suite)
«Piperno fait ici preuve d’une tendresse inhabituelle pour ses personnages.» L’Obs (lire la suite)
«Dans son nouveau roman, la futilité de la vie moderne croise l’horreur des attentats.» Society (lire la suite)
«Affûté comme jamais, Piperno fait une nouvelle fois mouche.» Lire (lire la suite)
«Marcel Proust et Woody Allen ont eu un fils. Il vit à Rome et écrit peut-être les plus poignants et drôles des romans de ce temps.» Sud-Ouest Dimanche (lire la suite)
«Une interrogation aiguë de la filiation et des soubresauts de l’histoire contemporaine, quand tout se fragmente et implose.» Diacritik (lire la suite)
«Humour juif haut en couleur, ironie corrosive, acuité dérangeante, l’auteur passe au Kärcher les grands mythes du couple et de la famille.» Le Figaro Magazine (lire la suite)
«Cette comédie de mœurs cache bien son jeu.» Avantages (lire la suite)
«Sous le masque de la légèreté, le subtil romancier italien nous livre une fin aussi tragique qu’inattendue.» La Vie (lire la suite)
«Alessandro Piperno, magnifique écrivain, écrit avec la verve d’un Mordecai Richler des contes métaphysiques à la Bellow. Ce n’est pas donné à tout le monde et c’est magistral.» Livres Hebdo (lire la suite)
«Un épatant bouquin de rentrée.» Le Canard enchaîné (lire la suite)
«Explosif.» La Croix
«La condition humaine, les avis des hommes sur les femmes (et réciproquement), le statut social, le monde dans lequel nous vivons, les frayeurs les plus irrationnelles, et les plus raisonnables, tout cela se mêle admirablement dans un ouvrage où nous respirons le même air que les personnages. Et cet air a quelque chose d’empoisonné, mais on ne sait trop par quoi.» Le Soir
«La fin est un coup de poignard en plein cœur.» Corriere della sera (lire la suite)
«Piperno est l’architecte d’univers dont on ne voudrait jamais s’éloigner.» La Repubblica (lire la suite)
Paroles de libraires
«Ce roman est très maîtrisé, écrit sans un mot de trop. Chaque personnage est ciselé avec une précision d’orfèvre.» Masséna, Nice
«À la fois cynique, drôle et tellement réaliste.» L’Attrape-coeurs, Paris
«Toujours aussi addictif! Toujours aussi surprenant!» La Vie devant soi, Nantes
«Une telenovela proustienne.» Atout Livre, Paris
«Quelle famille! Quel auteur! Quelle découverte! Des personnages parfaitement imparfaits, une écriture pleine de compassion et de dérision. Brillant.» Montbarbon, Bourg-en-Bresse
«Piperno fait montre d’une douce bienveillance pour des personnages qui nous ressemblent et ne peuvent se soustraire à l’Histoire dans laquelle ils se meuvent.» Fnac, Angers
«Un brillant chroniqueur de la société et de l’âme humaine.» Baume, Montélimar