La Terre des Wilson
Un bout de terre aride au nord de l’Oklahoma où peu de gens s’aventurent ; une poignée de fermes misérables, écrasées de chaleur ou chahutées par les tornades. Petit garçon, Dick a fui cet endroit maudit et sa brute de père, le vieux Samuel Wilson. Quinze ans plus tard, un jour d’avril 1935, Dick est pourtant de retour avec chapeau blanc et fine moustache, au volant d’une élégante voiture. Quelle fortune vient-il chercher ici? Peut-être l’or noir dont la rumeur prétend qu’il va jaillir de la prairie. Peut-être l’or jaune qui coule dans les bars clandestins de ce territoire où la Prohibition n’a pas encore été abolie. Ou peut-être le cœur d’Annie Mae qui appartient désormais au vieux Samuel.
C’est dans une Amérique profonde malmenée par l’Histoire que nous emporte Lionel Salaün pour ce troisième roman; celle de la Grande Dépression et du «Dust Bowl», ces gigantesques nuages de poussière qui ont mis à genoux des milliers d’agriculteurs pendant près d’une décennie. Un monde féroce, où la vengeance de la nature rivalise avec celle des hommes.
À propos
«Il y a quelque chose de Steinbeck et de Rash dans le nouveau roman de Lionel Salaün.» Page des libraires (lire la suite)
«Une belle écriture maîtrisée qui réussit à nous emporter comme une de ces tornades qui se coulent entre les basses collines puis prennent de l’ampleur avant de tout balayer.» Lire
«Il a le don de planter le lecteur au plus profond de l’Amérique avec une justesse incroyable. Et c’est toujours savamment orchestré.» Ouest France
«Un ouvrage magistral.» Zibeline
«A l’aise dans ces grandes plaines soumises aux caprices titanesques du ciel, Lionel Salaün anime les ressorts d’une tragédie.» Le courrier de l’ouest (lire la suite)
«Entre western et tragédie antique, et non sans démesure shakespearienne.» La vie nouvelle (lire la suite)
«À l’aise dans ces grandes plaines soumises aux caprices titanesques du ciel, Lionel Salaun anime les ressorts d’une tragédie.» Presse Océan (lire la suite)
«Un roman à l’écriture précise, nerveuse, qui nous fait replonger dans la période terrible de la Dépression.» Parutions.com
«Lionel Salaün excelle à faire vivre l’époque et les lieux, sa connaissance et son amour des Etats-Unis sont perceptibles et donnent chair et sang à ce roman.» QuatreSansQuatre (lire la suite)
«L’écriture ciselée de Lionel Salaün est décidément un délice. Il possède assurément ce don propre au véritable romancier qui consiste à nous plonger dans un univers romanesque au moyen de personnages solidement campés et de descriptions très visuelles.» Librairie Mollat, Bordeaux
«Ce roman est une magnifique, rare et sombre pépite, que l’on referme à regret. Une implacable histoire de famille sur fond de Grande Dépression.» Librairie Le Divan, Paris
«Porté par une écriture fluide et limpide, ce court roman tient le lecteur en haleine dès les premières lignes.» Librairie Le Failler, Rennes
«La terre des Wilson est un roman noir poignant, tragique, et bon sang, quelle plume!» Librairie Gwalarn, Lannion
«Ce roman court et dense est l’œuvre d’un auteur français… MAGNIFIQUE.» Le Libr’air, Obernai
«Un magnifique roman de sueur et de larmes, de grands espaces et d’enfance marquée au fer rouge, dans l’Amérique de la Grande Dépression.» Librairie Pleine Page, Sélestat
«Ce roman est un bijou.» Fnac, La Défense
«Construit tel une véritable tragédie shakespearienne, le nouveau roman de Lionel Salaün n’est pas sans rappeler bien évidemment les livres de John Steinbeck ou encore d’Erskine Caldwell.» Librairie Page et plume, Limoges
«Subtilement mené, ce roman nous surprendra jusqu’à la dernière ligne.» Fnac, Nice