Le héros? C’est Nikolaï, qui retrouve un exemplaire du chef-d’œuvre de la littérature ukrainienne étrangement annoté. L’auteur de ces annotations? Il gît au fond d’un cercueil, une carte du trésor sous la tête. Le trésor? Il se trouverait dans un fort du désert kazakh où un caméléon a pris ses quartiers. Le ressort de l’histoire? Les nationalismes, encore et toujours. La morale de l’histoire, au-delà du plaisir du lecteur? Fi des nationalismes, hommes et caméléons de tous les pays, unissez-vous…
À propos
«Son premier opus nous avait enchantés et avait fait un tabac en librairie. Le Russe serait-il capable de renouveler l’exploit? La réponse est un oui franc et massif, tant Le Caméléon est de nature à dérider le lecteur le plus grognon. C’est un vrai roman russe (tendance déjantée).» Marianne
«Pas l’ombre d’une morale derrière ce récit qui flirte entre surréalisme et Pieds Nickelés. Il n’y a ni de vrais bons ni de vrais méchants. Tout juste quelques paumés et quelques roublards. « Comme dans la vraie vie », insiste Kourkov.» Télérama