Un empire financier bâti sur deux générations suffit-il à mettre les descendants à l’abri des tracas de la vie ? Apparemment non car Jay Gladstone, l’héritier flamboyant de cette fortune, est assailli par les mêmes tracas que le commun des mortels : épouse exigeante, progéniture insupportable, obligations familiales, contraintes sociales. Également propriétaire d’une équipe de basket, Jay doit aussi compter avec les coûteux caprices des joueurs, noirs pour la plupart, dont la super star Dag. Nous sommes en 2012 et Obama fait campagne pour un second mandat, mais cela n’apaise pas pour autant les conflits raciaux. Il suffit qu’un Blanc tue accidentellement un Noir et le pays s’embrase. La machine médiatique se met alors en route, le politiquement correct emplit les colonnes des journaux, les procureurs en mal de notoriété se retroussent les manches, les fake news envahissent les réseaux sociaux. La mécanique de la chute est désormais enclenchée.
Un grand roman sur les embûches de notre temps et ses dangereuses dérives.
À propos
«Une foisonnante comédie humaine.» Le Canard enchaîné
«Un Seth Greenland en forme olympique, maîtrisant avec précision une intrigue à tiroirs, signant des dialogues brillants et moquant le politiquement correct avec une réjouissante justesse.» Le Figaro Magazine
«Une histoire parfaitement ouvragée, qui distille la juste dose de feuilleton et de critique sociale, d’empathie et de satire, de psychologie et de dialogues bien envoyés.» ELLE
«Un réalisme exigeant situe le livre au-delà du romanesque, dans une critique très maitrisée de la société américaine et de ses démons. Haletant.» Madame Figaro
«Seth Greenland est un expert en arme de dérision massive.» Paris-Match
«Le roman déborde de rage et de folie. L’humour y est roi.» Le Figaro Littéraire
«Une comédie captivante, grinçante et souvent drôle.» Le Nouveau magazine littéraire
«Une peinture sans concession de l’Amérique d’aujourd’hui.» JDD
«Une formidable fresque new-yorkaise sur l’argent et le pouvoir qui dénonce la tyrannie des réseaux sociaux.» Le Point
«Autocensure, antiracisme dévoyé, antisémitisme, concurrence victimaire, étudiants décadents et velléitaires : les meilleurs produits d’importation américains sont décrits dans ce livre.» Famille chrétienne
«Quand un roman désosse le grand corps américain avec une telle alacrité, c’est irrésistible.» Le Maine libre
«Moderne dans le propos, classique dans la forme, amoureux des dialogues et orfèvre de la satire, Greenland nous régale avec cette fiction ambitieuse et excitante, de loin son meilleur livre.» Onlalu
«Magistralement, patiemment, minutieusement, Seth Greenland décortique l’horlogerie de la chute d’un homme au sommet de sa gloire. Glaçant! » Page des libraires
«Un grand roman aussi cruel qu’hilarant.» Les Echos
«Un conte lucide au réalisme acéré, effrayant et fascinant.» L’incorrect
«Son intrigue est magistrale.» The Los Angeles Review of Book
«Son cinquième roman rappelle Le Bûcher des vanités de Tom Wolfe.» Kirkus Review