Être consciencieux et prendre son boulot de tueur à gages avec le même sérieux que n’importe quel travail ne vous protège pas du dégoût. Depuis qu’il a dû éliminer Frank MacLeod, Calum reste le seul homme de main de Peter Jamieson et cela ne lui convient pas. D’ailleurs, sa décision est prise: à l’occasion de sa prochaine mission il va se faire la belle. En douceur, sans trop de casse. Mais dans le monde du crime organisé, la douceur n’est pas de mise. La seule issue possible serait-elle encore et toujours la violence? Le troisième et dernier volet d’une trilogie déjà mythique.
À propos
«L’action est bouillante, le style glacial… Une douche écossaise.» Le Point (lire la suite)
«Final grandiose.» Paris-Match (lire la suite)
«C’est aussi noir que lumineux.» Ouest France (lire la suite)
«Ce roman crépusculaire est glaçant et pourtant charnel.» Lire (lire la suite)
«Nouvelle épure d’un polar troublant de réalisme, Ne reste que la violence vient clore en beauté un ténébreux triptyque qui risque bien de rester en bonne place dans les annales du roman policier.» Le Figaro Magazine (lire la suite)
«On est entre professionnels, chaque chapitre dépliant avec minutie un éventail d’actions, de supputations, de tractations.» Libération (lire la suite)
«Ce roman se lit d’une traite, sans jamais s’essouffler, trajectoire nocturne, tragique et désespérée.» Télérama (lire la suite)
«Très noir et assez psychologique, d’une construction lumineuse, ce dernier volet clôt admirablement une tragédie sombre et mélancolique.» Le Progrès (lire la suite)
«Ce roman, percutant, brosse un portrait convaincant et réaliste du milieu écossais. Au menu action, trahisons et manipulations.» La Croix (lire la suite)
«Sans nul doute le plus beau des trois volumes.» Nice-Matin (lire la suite)
«Un récit parfaitement tenu et sans temps mort.» RTL "C’est à lire"
«Une merveille!» La Montagne (lire la suite)
«Une très réjouissante trilogie.» Page des libraires, (lire la suite)