Un ticket de caisse pour chaque achat. C’est ce que le juge des tutelles ordonne à Mirko et Tommaso, deux orphelins de dix-sept et onze ans. Et les deux frères s’y tiennent scrupuleusement. De même qu’ils suivent sans trop de ratés les autres injonctions : ne pas être en retard à l’école, manger des protéines, ranger l’appartement, vider leur sac de sport en rentrant à la maison, changer de pyjama une fois par semaine. Et rendre compte de tout à oncle Eugenio qui habite à cinquante kilomètres de chez eux. Une mécanique précise et bien huilée qu’un match décisif de l’Inter de Milan va faire déraper, car celui-ci a lieu à Madrid. Et pour y assister mille deux cents euros sont nécessaires. Avec ou sans ticket de caisse…
À propos
«Il aborde le thème de l’adolescence avec une pudeur et une justesse inédites.» L’Express (lire la suite)
«Un roman acéré sur l’adolescence.» Radio classique
«Un roman d’apprentissage dans lequel Giorgio Scianna scrute le monde des adolescents d aujourd’hui avec une acuité saisissante.» Le Monde (lire la suite)
«Un roman d’apprentissage sensible où tout se passe dans les marges.» Livres Hebdo (lire la suite)
«Ecrite dans une langue dépouillée de toute fioriture stylistique, leur histoire est un chef d’oeuvre.» La Marseillaise (lire la suite)
«Ce roman d’un italien inconnu passerait inaperçu, s’il n’avait ce charme qui séduit au premier coup d’œil. Bientôt captive. Passionne enfin. Jusqu’à s’imposer comme un grand texte sur l’adolescence.» La Montagne (lire la suite)
«Ce récit assez haletant fait entrer avec dextérité le lecteur dans la vie d’un adolescent.» Ouest-France (lire la suite)
«Un grand livre.» L’Alsace (lire la suite)
«On inventera bien quelque chose est le roman d’une jeunesse marquée par l’absence et la perte, mais aussi et surtout par la vie.» Page des libraires – Librairie Le Livre et la tortue – Issy-les-Moulineaux
«Avec finesse, delicatesse et humour, Giorgio Scianna nous offre un roman d’initiation moderne qui arrive à capter avec justesse les désirs, les joies, les peines mais aussi les doutes de l’entrée dans l’age adulte.» Librairie Le Genre urbain – Paris
«On inventera bien quelque chose est le roman d’une jeunesse marquée par l’absence et la perte mais aussi et surtout par une furieuse envie de vivre.» Librairie Le Livre et la tortue – Issy-les-Moulineaux
«Un portrait sans concession de la jeunesse italienne contemporaine qui saisit très justement les failles et les affres de l’adolescence.» Librairie Mollat – Bordeaux