Pendant le reste du voyage, j’ai tiré sur les Indiens
Un sac de sport et quelques BD de Tex Willer, «le cow boy qui gagne toujours». C’est à peu près tout ce que possède Emil lorsqu’il décide de s’enfuir de Turin. Mais que ferait Tex s’il était roumain, sans papiers, et n’avait que treize ans? À tous les coups, il chevaucherait les frontières à la recherche de grand-père Viorel, un artiste farfelu qui chaque dernier dimanche du mois écrit à son petit-fils. Sa dernière lettre est arrivée de Berlin, c’est donc par là qu’il faut commencer. Et qu’importe si le périple est long, lorsqu’on a le coeur vaillant, la fatalité, on lui fait la nique!
Pendant le reste du voyage, j’ai tiré sur les Indiens, le premier roman de Fabio Geda, figurait à sa sortie en Italie sur la prestigieuse liste du prix Strega et a reçu en France le prix Jean Monnet des Jeunes Européens 2009.
À propos
«Captivant et touchant.» France Soir
«En prime, la gouaille tendre d’un compagnon de route irrésistible.» Madame Figaro
«Contre la mouise, Fabio Geda a un remède : l’humour.» Télérama