Le second roman. Une étape délicate, cruciale même, pour un auteur. Surtout quand la sortie du premier s’est vue gratifiée de papiers louangeurs et d’une tournée en librairie copieusement arrosée… Le vide, la page blanche peuvent devenir angoissants. Il faut, coûte que coûte, trouver la bonne idée. Mais laquelle? Un pamphlet sur les coulisses du monde littéraire? Agent et éditeur poussent les hauts cris. Un best-seller ésotérique en dix tomes? Le gage, certes, d’une longue rente, mais est-ce bien raisonnable… Pour doper sa muse, faudrait-il s’en remettre aux paradis artificiels, version moderne?
Une farce déjantée et hilarante sur la difficulté d’écrire où Markus Orths épingle avec humour les acteurs de l’industrie littéraire.
À propos
«Personne n’est capable d’écrire, dès son second roman, un livre aussi drôle.» Le Monde Magazine
«A lire pour l’humour, l’élégance du style et la gravité qui s’y faufile.» Télérama
«Humour, satire et dérision sont au cœur de ce bijou. Second roman, second succès?» Le Figaro magazine
«L’auteur pratique un art du décalage et du second degré proprement incisifs et d’une drôlerie irrésistible.» Médiapart
«Markus Orths a plus d’un tour dans son sac…» Le Canard enchaîné
«Une farce sur les difficultés de l’écriture.» La Montagne
«Bien troussé et désopilant, Second roman est aussi une évocation incisive du milieu de l’édition.» Radio Classique