Depuis le jour de sa naissance, la vie est une guerre pour Sofia. Une guerre qu’elle mène contre ses proches, contre le monde entier. Inquiète, excentrique, débordante, insaisissable, Sofia est toujours habillée en noir. Et son humeur aussi. Pourtant elle fascine tous ceux qui l’approchent. De Milan à Brooklyn, leurs paroles dessinent le portrait de cette rebelle et, en filigrane, celui d’une société qui depuis la fin des années 70 cherche ses repères. De gentils ghettos résidentiels s’installent en bordure des villes, la politique perd de son aura, la liberté individuelle est le nouveau Graal… Mais Sofia, fille unique de la bourgeoisie ordinaire, trace son chemin. Résolument.
Avec une écriture qui décortique les personnages et les émotions, Paolo Cognetti compose un roman-mosaïque fort et troublant qui a déjà conquis l’Italie.
À propos
«Une prouesse d’agencements qui conserve intacte la magie du mystère.» Le Monde (lire la suite)
«Sofia est ce genre de fille qu’on doit rencontrer une fois dans sa vie. Grace à Paolo Cognetti et à son talent de peintre impressionniste, on a cette chance.» Lire (lire la suite)
«Sofia nous attire, elle nous happe, elle nous hante, elle est insaisissable.» France culture "Le carnet du libraire" Librairie L’échappée belle à Sète
«Ce premier roman se lit comme un long et bel avis de recherche.» Causette (lire la suite)
«Une mécanique d’imprécision parfaitement huilée.» Le Nouvel Observateur (lire la suite)
«Un roman original dont pourrait s’inspirer Woody Allen.» Femme actuelle
«Sofia est éblouissante. son auteur possède le style qui lui colle à la peau.» Focus-Le Vif
«Un premier roman réussi.» Ouest-France (lire la suite)
«Un joyau brut.» Onlalu
«Des dialogues brefs, ciselés, étrangement poétiques dans leur prosaïsme donnent à chaque scène une présence vibrante. C’est beau comme les premiers films de Godard.» Le Figaro Littéraire (lire la suite)
«Une révélation.» Bibliobs
«C’est dérangeant, bouleversant, envoûtant.» Sud Ouest Dimanche (lire la suite)
«Un jeu de pistes nerveux, drôle, d’une modernité sans tics.» Le salon littéraire
«Un roman éclaté et fragmentaire.» La Gazette Nord Pas de Calais
«Paolo Cognetti réussit le tour de force, non seulement, de nous dépeindre une histoire familiale complexe et d’une grande justesse, mais à travers cette "modeste histoire" dans laquelle nous serons nombreux à nous retrouver, il nous offre un portrait de l’Italie des années 70 aux années 90 d’une grande intelligence.» Librairie Le Genre urbain, Paris
«On regarde Sofia passer de l’enfance à l’âge adulte, partir beaucoup, s’installer parfois, disparaître et laisser son empreinte, profonde et durable.» La Libreria, Page des libraire (lire la suite)
«Est-il possible de dépeindre un personnage féminin, enfant, adolescente puis jeune femme, aussi changeante qu’une flamme? Paolo Cognetti le fait, et le résultat est splendide.» Elle (Italie)
«Le plus beau livre italien de 2012. Lisez-le, et vous ne vous libérerez plus de Sofia.» Vanity Fair (Italie)
«Un roman métropolitain et bourlingueur, une histoire d’amour et d’anarchie située dans les banlieues et articulée en dix chapitres d’une biographie imaginaire.» La Repubblica
«Dix mouvements pour raconter la vie d’une jeune femme, autant de nouvelles qui s’enchaînent pour former un roman.» Corriere della Sera
«Sofia est une âme rebelle, une fille de notre temps, par absence d’avenir, d’idéologie et d’utopie.» La Repubblica delle donne
«Sofia est la fiancée imaginaire d’une génération ; elle resplendit au centre d’une constellation de vies, comme le vide dans l’œil du cyclone.» Il Manifesto
«Paolo Cognetti est un véritable écrivain, il sait ce qu’il veut et ce qu’il fait.» Internazionale
«La prose de Cognetti est magistrale.» Blow Up
«Une des voix les plus sensibles de sa génération.» Famiglia Cristiana
«Un ouvrage extraordinairement mûr et puissant.» Mucchio
«Une voix unique qui s’attarde sur les petites émotions et les abîmes qu’elles dissimulent.» Wuz
«Un roman d’une originalité absolue.» La Gazzetta del Mezzogiorno
«Le succès du merveilleux livre de Paulo Cognetti continue d’être porté par le bouche-à-oreille.» Glamour